qubits造句

• Un ordinateur quantique travaille sur un jeu de qubits.
• Par conséquent, il est nécessaire de comparer les qubits transmis afin de décoder.
• Les opérations ne sont plus basées sur la manipulation de bits, mais de qubits.
• Les ions piégés. Cette technique a donné le système possédant le plus de qubits intriqués.
• En ce sens, un ordinateur quantique à trois qubits a bien plus de mémoire qu'un ordinateur classique à trois bits.
• Gardant cela à l’esprit, nous prenons le mécanisme de couplage de qubits par flux superconducteur décrit en Plourde et al.
• Le 19 décembre 2001, IBM crée un ordinateur quantique de 7 qubits et factorise le nombre 15 grâce à l'algorithme de Shor.
• De nombreux projets sont en cours à travers le monde pour construire concrètement des qubits viables et les réunir dans un circuit.
• En effet, pour un tel état, il est impossible de factoriser l’état de la paire de qubits sous la forme d’un produit tensoriel.
• Ces ordinateurs à 7 qubits sont bâtis autour de molécules de chloroforme et leur durée de vie utile ne dépasse pas quelques minutes.
• L'algorithme de Shor fut utilisé en 2001 par un groupe d'IBM, qui factorisa 15 en 3 et 5, en utilisant un calculateur quantique de 7 qubits.
• Nous développons une méthode pour agir comme une porte logique universelle d’enlacement via des collisions contrôlées entre paires de qubits atomiques piégés avec des pinces optiques.
• Par conséquent, il est impossible de dupliquer des qubits afin de suivre l'algorithme du code de répétition, un des codes les plus simples de la théorie classique correspondante.
• Les travaux sur la mise au point d’applications utilisant quelques qubits sont vivement encouragés, par exemple dans le domaine de la métrologie ou des simulateurs de systèmes quantiques.
• Les chercheurs de l'ISM-CNRC ont établi les principes de base du calcul quantique et il est d'ores et déjà possible de combiner des qubits pour former le plus petit circuit quantique existant.
• La chercheure emploie des techniques optiques femtosecondes afin de déterminer le temps nécessaire aux calculs quantiques et élabore des approches pour la réalisation d’opérations sur des qubits de rotation à l’aide d’impulsions laser ultrarapides.
• L’objectif de cette initiative est de contribuer à l’élaboration de systèmes qui mettent en œuvre avec succès des algorithmes quantiques à une petite échelle, en incluant notamment l’écriture, le traitement et la lecture de qubits.
• Pour permettre ce passage à l’échelle, il sera particulièrement important de développer des démarches expérimentales novatrices pour surmonter la décohérence, des protocoles élaborés de correction d’erreur quantique et de nouveaux protocoles pour la mise en réseau de qubits.
• Les bits en spintronique, nommés qubits, exploitent les états spin up et spin down comme une superposition de 0 ou 1, et 8 qubits couplés possèdent la propriété de représenter tous les nombres entiers entre 0 et 255 de façon simultanée.
• Ce mécanisme est ensuite utilisé comme base de deux architectures échelonables pour des flux de qubits qui prennent en compte la diaphonie et la tolérance à l’erreur de façon à permettre un ensemble universel de portes logiques, le parallélisme, la mesure et l’initialisation et la mobilité des données.