magnétisations造句

• Les deux magnétisations contiennent des inversions.
• On n'observe pas de variation similaire des magnétisations dans les roches acides.
• De telles grandes magnétisations indiquent généralement des roches ignées intermédiaires associées à des environnements d'arcs magnétiques.
• Les roches contiennent deux magnétisations principales, une première magnétisation B, et une deuxième magnétisation A subséquente.
• Les magnétisations caractéristiques du lac Williston diffèrent toutefois de toute direction cratonique référentielle au Trias en Amérique du Nord.
• Les modèles quantitatifs, toutefois, indiquent la présence de magnétisations intenses à plus grande profondeur sous la forte anomalie à l'ouest.
• L'échange lente modifie principalement les magnétisations z du système et elle est observée au cours d'expériences de relaxation spin-réseau modifiées.
• Les plus grandes anomalies et magnétisations se retrouvent dans les domaines de Fort Nelson, Fort Simpson, Buffalo Head, Talston, Ksituan et de Matzhiwin.
• La magnétisation a environ 1800 m.a. Certaines magnétisations énigmatiques avec de très hautes températures de démagnétisation au-dessus de 700 °C ont été observées.
• La troisième magnétisation ST3 est identique à un grand nombre de magnétisations de surimpression régionales qui ont eu lieu lors d'étages tardifs du Carbonifère.
• La divergence entre ces pôles et les pôles cratoniques indiquerait que ces magnétisations ont été acquises à une période où l'horizon repère différait du présent horizon.
• On a observé des magnétisations résiduelles de 200 et 55 cm3 G mol-1 et des champs coercifs de 5000 et 2500 G respectivement pour les composés 1 et 2.
• En excluant la faible magnétisation due au champ actuel, quatre magnétisations sont présentes, deux provenant de l'hématite, la troisième surtout de la magnétite, et la quatrième de source incertaine.
• Le mouvement de la plaque nord-américaine telle qu'observée par les magnétisations du Keweenawien supérieur s'accorde avec les données publiées antérieurement sur la migration des pôles à la fin du Précambrien.
• L'ordonnancement de la séquence d'acquisition pour ces trois magnétisations est surtout circonstanciel, étant donné qu'il est basé sur la distribution de chaque phase de rémanence par rapport à la position stratigraphique et la déformation des strates.
• Les magnétisations X, Y, et Z sont probablement ultérieures elles ont généralement des températures de blocage inférieures et ont des directions comparables à celles que l'on trouve dans des roches plus jeunes, dans l'intervalle de 2000 à 1400 Ma environ.
• On peut observer une corrélation qualitative entre l'anomalie magnétique de la chaîne Côtière de direction nord-ouest, en Colombie-Britannique, et une variation systématique et perpendiculaire à la direction dans les magnétisations mesurées sur les roches les plus mafiques du complexe plutonique Côtier entre 50° et 51° N. Cette variation détermine en partie la forme de l'anomalie.
• Il est soutenu que ces magnétisations thermorémanentes ont été acquises durant un refroidissement très lent après un métamorphisme régional situé dans l'intervalle 1100 à 1000 m.a. Un modèle de refroidissement en une seule étape s'appuyant sur la théorie du domaine unique de Neel, est développé et suggère que la magnétisation de l'hématite a été acquise durant un refroidissement lent à environ 240 °C et la magnétisation de la magnétite à environ 200 °C.
• De plus, les composés 1, 4 et 5 donnent lieu à des transitions de phase magnétique conduisant à des états ferromagnétiquement ordonnés à des températures critiques respectivement de 16, 13 et 15 K. Des mesures de magnétisation à 4,8 K alors que l'on faisait varier le champ appliqué de +55 000 à –55 000 G révèlent l'existence d'un comportement d'hystérèse typique qui conduisent à des magnétisations résiduelles de 334, 257 et 175 cm3 G mol–1 et des champs coersifs de 6620, 5280 et 4140 G respectivement pour les composés 1, 4 et 5.