fabiusiens造句

• Elle est membre du courant «Rassembler à gauche» qui rassemble les fabiusiens.
• Des fabiusiens comme Jack Lang ont à cette occasion rompu avec Laurent Fabius.
• Cette nouvelle configuration préfigure de futurs affrontements entre les jospiniens et les fabiusiens.
• Les premiers militants fabiusiens intègrent l'UNEF-ID de Rouen dès le milieu des années 1980.
• Elle est l'une des principales animatrices du mouvement «Rassembler à Gauche», qui fédère les fabiusiens.
• Les fabiusiens comme les autres entament alors une réflexion sur eux-mêmes, les menant à se renouveler.
• La sensibilité commence à s'éloigner des réseaux fabiusiens pour se concentrer sur un travail plus syndicale que politique.
• Des négociations s'ouvrent donc, grâce à l'entremise des quelques fabiusiens de la MNEF, avec l'équipe de Christophe Borgel.
• Les poperénistes sont peu nombreux, tout comme les fabiusiens qui font tout juste leur entré officielle à l'UNEF-ID.
• Pour le député Bruno Le Roux, membre de la majorité sortante «les fabiusiens sont dans une stratégie de tension».
• À cette époque, l’UNEF-ID est très marquée par les luttes de courant du Parti socialiste, aussi l’entrée des fabiusiens semble naturelle.
• Pour s'assurer de ne plus être assimilés aux fabiusiens certains membres de DEMOS surnomment leur sensibilité "SCALF" pour "Sensibilité carrément anti-Laurent Fabius".
• Historiquement, les fabiusiens se sont opposés aux «rocardiens», puis aux «jospinistes», et plus récemment aux «hollandais» et encore plus récemment à Ségolène Royal.
• Cette décision fait suites aux réflexion menées conjointement par Jean-Marcel Bichat, conseiller de Laurent Fabius et de Nicolas Ravailhe, responsable national des jeunes fabiusiens.
• Sous la direction d’Arnauld Champremier-Trigano, les fabiusiens de l’UNEF-ID décident de s’émanciper définitivement de leur tutelle politique et de choisir une orientation syndicale plus offensive.
• Octobre 1990: Les Fabiusiens prennent leur revanche et empêchent Henri Emmanuelli de devenir président du groupe socialiste de l'Assemblée nationale après l'entrée de Louis Mermaz au gouvernement.
• DEMOS participe donc à la TUPI et c'est avec elle que les fabiusiens font leur entrée officielle dans le débat national de l'UNEF-ID, à l'occasion du congrès de 1991.
• Lors du référendum sur le Traité constitutionnel européen de 2005, le courant des fabiusiens a défendu le «non», malgré le vote des militants du PS en faveur de ce texte.
• Le positionnement pour le oui provoqua l'ire des minorités, mais aussi plusieurs défections dans la majorité, avec l'engagement pour le non d'une partie des Fabiusiens et d'autres personnalités comme Jean-Pierre Masseret.