gabardine造句

• Demandes d’allégement tarifaire déposées par Les magasins Château du Canada Ltée et Productions Hémisphère Inc. concernant la gabardine Armani, Tribunal canadien du commerce extérieur, le 19 septembre 1995.
• Au cours de la dernière année, le Tribunal a, conformément à la nouvelle procédure, procédé à un réexamen complet d'un décret temporaire concernant un tissu connu sous le nom de « gabardine Armani ».
• Demandes d'allégement tarifaire déposées par Les Magasins Château du Canada Ltée et Productions Hémisphère Inc. concernant la gabardine Armani , Tribunal canadien du commerce extérieur, demandes nos TR-94-011 et TR-94-019, le 19 septembre 1995 à la p.
• 100 ad valorem en vertu du tarif du Mexique. Revenu Canada a analysé le tissu en question et a confirmé qu’il ne s’agit pas d’une gabardine ou d’un tissu d’armure sergé [5] , comme l’ont déclaré Le Château et Hémisphère.
• Comme cela est indiqué dans l’affaire Gabardine Armani, «[d]e plus, les producteurs nationaux de textiles devraient pouvoir prouver qu’ils ont la capacité et la volonté de fournir des grandes et des petites quantités au besoin, à des conditions commerciales acceptables [17] ».
• Ces demandes avaient trait à un tissu connu sous le nom de « gabardine Armani » et la recommandation du Tribunal visait un allégement tarifaire pour une période de deux ans.
Premièrement, le Tribunal a publié un avis d'expiration du décret et a demandé des exposés des parties qui désiraient la tenue d'un réexamen du décret susmentionné, ou qui s'y opposaient.
• Cette procédure est similaire, bien que moins formelle, à celle qui a été adoptée par le Tribunal pour exécuter son mandat concernant les causes de dumping et de subventionnement.
Le Tribunal a l'intention de consulter sous peu les parties intéressées afin de déterminer s'il convient de continuer à utiliser cette nouvelle procédure à l'essai, comme dans le cas de la « gabardine Armani », ou s'il faut la modifier pour d'autres réexamens de ce genre.
• Acceptation par le marché Paris Star prétend que les éléments de preuve présentés par les divers utilisateurs des tissus en question font ressortir les importations passées et prévues des tissus en question ainsi que les ventes de marchandises finies produites à partir des tissus en question et que, comme dans l’affaire Gabardine Armani, les éléments de preuve «prouvent l’existence d’une demande et d’une [acceptation reconnue par le] marché pour le[s] tissu[s] en question, tout à fait distinctes de la demande relative aux prétendus tissus substituables de fabrication nationale [15] ».